[âplwajé de péaZ] (n. com. TAX.)
S‘il convient d’afficher dans la longue litanie des métiers surannés ceux de hongreur, de lavandière, de mercelot, ou encore d’oribusier, il en est un qui n’a pas disparu faute de débouchés à l’exercice de sa compétence mais qui s’est vu débauché par la machine moderne, grande remplaçante de tout ce qui peut exiger des « conditions de travail » comme ils disent : employé de péage.