
Fig. A. Bel homme.
[ɛtʁ bo kɔm kʁezys] (RICH. BEAU.)
Deux choses font tourner la tête et briller les prunelles : la plastique (du minois) et le plastique (de la carte de crédit).
Fig. A. Bel homme.
Deux choses font tourner la tête et briller les prunelles : la plastique (du minois) et le plastique (de la carte de crédit).
Fig. A. Nobliau se sucrant la gaufre.
C‘est sous le règne du numéroté quatorze des rois de France, Louis alias Soleil, que le maquillage acquiert ses lettres de noblesse. Il faut dire qu’à la cour on s’emperruque, on se poudre, on se rougit les joues et on se colle une mouche pour mieux charmer qui de droit. Qu’on soit homme, femme, curé, on se tartine le minois.
Fig. A. Ensemble de milords pot-au-feu.
A kiss on the hand may be quite continental, but diamonds are a girl’s best friend chantait, en angliche dans le texte, Carol Channing sur les planches de Broadway avant que Marilyn Monroe ne viennent lui voler la vedette pour devenir l’icône incarnant cette blonde préférée des milords pot-au-feu (en français dans le texte).
Fig. A. Le slip kangourou permet d’avoir la poignée dans la valise.
A u cours de ses pérégrinations et tentatives d’innovation, la mode réglementaire a parfois produit des élucubrations qui questionnent encore aujourd’hui le chercheur.
Fig. A. Chienne habillée.
Sous les latitudes de la Belle province se sont créées des expressions que la mère patrie française a souvent tenté de récupérer, hors prononciation évidemment tant leur tonalité nasale et chantante est impossible à reproduire pour le natif de Loches ou de Montauban (mais ceci est une autre histoire).
Fig. A. Carte postale de l’île de Ré.
Le baudet a le pied sûr. C’est sûr. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’on lui confie tout ce qu’il faut porter, certain qu’il n’ira pas se vautrer au premier caillou capricieux venu se glisser sous son sabot.
Fig. A. Gamine au chapeau.
L‘art d’envoyer paître le pénible a depuis des lustres fait l’objet d’une attention toute particulière du langage.
Fig. A. Pommadins devisant sur les précipitations saisonnières.
S‘il est une caractéristique identifiable des années surannées c’est bien celle de l’ordonnancement capillaire, que celui-ci soit laissé à la libre appréciation du Flower Power et de ses hérauts hippies, à la rigidité millimétrée par le règlement du 1er RPIMa, conscription oblige, ou à l’expertise maniérée du pommadin du quartier.
Fig. A. Femmes à bottes. Circa 1965.
Du bruit que font celles des barbares marchant au pas de l’oie à celles de foin au cœur desquelles il est pour le moins agréable de faire la sieste en passant par celles de sept lieues, les bottes occupent une place de choix dans le bréviaire suranné.
Fig. A. La poudre de Sarah Bernhardt pour se maquiller comme une voiture volée.
S‘il est probable que le maquillage bariolait déjà les corps et les visages des décorateurs pariétaux¹ de ce qui n’était pas encore la Dordogne en ces temps d’avant le calendrier ab Urbe condita,