[rwajal o bar] (adj. qualif. ROY.)
Dans la litanie des comportements devenus surannés pour cause de réalisme moderne, de rentabilité, de taux d’intérêt et autres billevesées à pourcentages, il en est un qui manque plus cruellement que les autres.
Dans la litanie des comportements devenus surannés pour cause de réalisme moderne, de rentabilité, de taux d’intérêt et autres billevesées à pourcentages, il en est un qui manque plus cruellement que les autres.
L‘oxymore érotique qui se profile dans les lignes qui suivent prend le contre-pied de la définition du coureur de prétentaine. Il sera donc nécessaire de connaître la réputation de chaud lapin du gonze en question pour comprendre l’ironie sous-jacente de la réunion en une seule expression du traînard et de la pétulance.
C‘est bien connu (au temps du suranné s’entend), toutes les femmes de Blois sont rousses et acariâtres. Ce qui pose un problème d’ampleur. Car la préfecture de Loir-et-Cher compte tout de même quarante cinq mille âmes et si plus de vingt deux mille et quelques d’entre elles (les femmes) sont rousses et acariâtres, les vingt deux mille et quelques restantes ne peuvent vivre avec des grincheuses.
De mémoire de vieux con suranné, l’expression qui va nous occuper ici n’est plus utilisée depuis la Rome antique, si ce n’est par Ronsard dans le Discours à la Reine (ce qui fait tout de même un bail).
Armand Jean du Plessis de Richelieu avait créé l’Académie française pour régler la langue française, la rendre pure et compréhensible par tous¹.
Le cardinal pouvait-il imaginer qu’aux compétences des quarante membres de la docte institution, il faudrait un jour ajouter celle de clabaudeurs refourguant leur camelote ?
La coupe de cheveux dite « mulet » qui orna notamment les crânes des joueurs de football des années surannées déjà précurseurs en matière d’ignominie capillicole¹ (le cas échéant, vous référer à votre album Panini qui croupit au grenier), n’a rien à voir avec l’expression que nous allons nous employer à définir ci-après.
Deux chapelles s’écharpent autour du petroselinim crispum, et ça ne se passe pas en cuisine. L’une est adepte du mouvement pour définir faire son persil, l’autre est au contraire favorable à l’immobilité dans son explication de texte.
En dehors des cavales, des étalons, et de celles et de ceux qui les montent, les guêtres ne concernent plus grand monde.
Si l’on excepte l’épisode malheureux des années Flashdance et la relance du port de ces protège-jambes en version fluorescente au cours des middle-archaic comme disent les américains (en sus des vestes à épaulettes, mais ceci est une autre histoire), on peut considérer que les guêtres appartiennent à l’histoire passée.
S‘il est un tissu suranné c’est assurément la flanelle. Ce coton peigné doux au toucher confectionne pantalons et chemises du meilleur goût pour les promenades sur la jetée en été et s’accommode parfaitement avec un Panama ou un canotier.
Mais la flanelle n’est pas que ce monde de douceur : elle sait aussi irriter lorsqu’accolée au verbe faire. Oui, faire flanelle énerve souvent, et plutôt le commerçant. Explications.