[ne pa avwar kasé la pat a koko] (exp. compl. FUT.)
La soldatesque a son langage suranné forgé au champ d’honneur et au fil des exploits guerriers et héroïques qui n’appartiennent qu’à elle.
Souvent poétesse, son pygmalion galonné la laissant divaguer, elle s’est au fil des ans et des conquêtes créé un bréviaire autonome. Trottinons au pas de la cavalerie avant qu’elle ne devienne mécanique.
Hue cocotte !