[mètre léz- ékyrëj a pjé] (gr. verb. ARBR.)
Oh ! Quel farouche bruit font dans le crépuscule
Les chênes qu’on abat pour le bûcher d’Hercule !
Ainsi parlait l’immense Victor Hugo du poète Théophile Gautier lors de ses obsèques en 1872. Un siècle plus tard Malraux se servira des chênes qu’on abat pour titrer ses entretiens avec le Général de Gaulle, rejoignant Idéfix dans la célèbre trilogie des personnages sensibles à l’abattage des arbres. Oui mes amis, Victor Hugo, André Malraux et Idéfix avaient ceci en commun qu’ils étaient tous trois de farouches militants de la cause arboricole, et ce bien avant l’heure moderne des indignés professionnels et militants superficiels.