[ètre dyr de la fëj] (loc. bibl.-acoust. SURDI.)
C‘EST UN COMBAT SANS MERCI qui a longtemps opposé deux courants sur la nature de l’expression être dur de la feuille. Et, pour une fois, ce n’est pas celui tenant des principes de la puissante église romaine qui l’a emporté, cas suffisamment rare pour être signalé ici.