[kôpèrlòrjo] (gr. n. SENS.)
Avant, c’est à dire en ces temps lointains et surannés, le garnement n’avait accès à toute information, de quelque nature qu’elle soit, que par l’observation, la rumeur et la documentation imprimée. Je veux signifier par là aux plus jeunes des lecteurs de ce modeste dictionnaire pédagogique que les précepteurs électroniques que sont vos amis algorithmes des firmes de Palo Alto ou d’ailleurs n’existaient pas.Eh oui, ça jette un froid.