[mené yn vi de batô de Sèz] (gr. n. FIESTA.)
Il est dans la langue surannée quelques analogies qui laisseront pantois le béotien moderne mais feront le régal du praticien classique. Si l’on peut être choqué par les œufs en couille d’âne, si l’on peut hésiter à aller chez le merlan, s’il est toujours délicat de se faire empapaouter, il est déconcertant de mener une vie de bâton de chaise.