[safyté le siflè] (loc. boiss. PREM.)
Quand elle a le cœur joyeux, la langue surannée plaisante avec le corps en se servant de ses parties pour fabriquer une souriante litote (cf. avec la bite et le couteau) ou une fâcheuse hyperbole (cf. se la tailler en biseau), joueuse qu’elle est.