[mÿè kòm yn karp] (loc. adv. KOÏ)
Mis à part quelque batracien censé séduire une blonde princesse par son art consommé de la parole et du mot, aucun représentant du monde des ruisseaux et des lacs n’a jamais ouvert la bouche autrement que pour gober une mouche (si vous pouvez prétendre le contraire votre témoignage sera étudié avec le plus grand intérêt)¹.