[le bulextères] (Argot. PANAM.)
Le hâtif en besogne se pâmera. Qu’on lui présente des sels pour qu’il recouvre ses esprits, il n’est nullement question d’avoir les cartouchières plus longues que le fusil quand on parle de boulexters.
Le hâtif en besogne se pâmera. Qu’on lui présente des sels pour qu’il recouvre ses esprits, il n’est nullement question d’avoir les cartouchières plus longues que le fusil quand on parle de boulexters.
Arts de la table et bonnes manières règnent en maîtres en ces temps désormais surannés où l’on dit encore bonjour à la dame sans mettre ses doigts dans son nez. Plus encore, la politesse considère alors de bon goût de remettre le couvert lorsque tel prétendant est allé présenter ses hommages à Madame la marquise et que cette dernière semble satisfaite mais non repue par la galanterie.
Felis silvestris catus tout mammifère carnivore qu’il est n’en demeure pas moins grand amateur de spécialités laitières.
LES CHAGRINS y verront un symbole érigé en hommage à la virilité supposée nécessaire au maintien de l’ordre républicain.
Dro-ma-daire : une bosse. Cha-meau : deux bosses.
Ainsi débute pour celui que la langue française chahutera au quotidien avec ses chausse-trappes et ses faux amis, l’apprentissage des choses de la vie.
Le nyotaimori (女体盛り) ou « présentation sur le corps » d’une femme qui consiste à se sustenter de sushis ou sashimis servis sur une geisha nue était vraisemblablement inconnu des créateurs de bouffer sur les couilles à Jules.
Ô combien est utile la pudeur du langage suranné quand il s’agit de gloser sur les saccages du vécu lorsque le temps passé est de toute évidence supérieur à celui du futur.
Au-delà de s’en tamponner le coquillard, plus loin encore qu’en toucher une sans faire bouger l’autre, aux confins du rien-à-foutisme, du RAB¹, siège une expression de l’effet zéro absolu.
Le livre de la Genèse (ספר בראשית) en son chapitre 4 est formel : ça batifolait dru dans les prairies du paradis.